Commentaires sur : Dodoma, Tanzanie 1977 https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/ Le site de Germinal Rebull Thu, 11 Jul 2013 11:46:54 +0000 hourly 1 Par : margarida AROLES https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-54 Thu, 11 Jul 2013 11:46:54 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-54 Entre le bon et le mauvais choix les décideurs qui, chacun le sait, sont tellement plus intelligents que le commun des mortels, choisissent toujours le … mauvais ?! Acte délibéré ou stupidité crasse qu’aucunes études de haut niveau aussi longues soient-elle ne peuvent effacer ? … Deu ho sap i Germinal, denunciant aquestes aberracions …

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Par : Germinal Rebull https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-52 Tue, 09 Jul 2013 14:20:50 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-52 Merci
Ce projet,vient s’ajouter à la longue liste des « loupés » pour des raisons triviales, hélas.
Je connais bien l’histoire de cette région, et vous recommande le film,de Annaud « La victoire en chantant » pour la période 14/18
L’indépendance de la Tanzanie (heureux mélange de Tanganyika et Zanzibar ) fut acquisse par la pugnacité de Julius Nyerere, premier lord noir à Londres… (faut le voir avec la perruque de circonstance), par voie électorale. J’ai eu le privilège de lui serrer la louche, bon dans un cadre protocolaire s’entend. Mais je suis heureux de l’avoir fait. Çà fait un souvenir sans portée aucune…que pour moi.
Je raconterai plus tard les matchs de foot entre le CDA de Dodoma (Capital development autority), hé oui j’ai fait partie de leur équipe, mes tibias s’en souviennent, avec des garnisons locales. Une véritable leçon d’architecture et d’urbanisme, oui vous verrez…le rapport entre vie et savane.

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Par : Berty Turquier https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-51 Tue, 09 Jul 2013 10:13:59 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-51 Magnifique projet, qui fait rêver. Dommage pour Dar es Salam.
Dar es Salam me fait immanquablement penser à Roald Dahl, l’écrivain gallois (« Charlie et la chocolaterie », « Bizarre ! Bizarre ! ») qui en parle dans son livre autobiographique « Going Solo ». Je conseille fortement à tout amateur de bonne littérature de lire ce bouquin, paru en français sous le titre de : « Escadrille 80 ». Dahla a séjourné à Dar es Salaam en 1938, à 22 ans, comme employé de la Shell. La Tanzanie s’appelait à cette époque le Tanganyika, et son livre contient des descriptions fantastiques des gens, des plantes et des animaux rencontrés, avec quelques photos en noir et blanc. Le récit de sa rencontre avec le terrible serpent Mamba est une pièce d’anthologie.

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Par : Germinal Rebull https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-36 Tue, 02 Jul 2013 14:29:25 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-36 En réponse à JV.

Je ne me rappelle pas le nom de l’acteur qui jouait dans les Western mexicains projetés en même temps que les fabuleuse saga indiennes. Mais je me souviens que l’on avait baptisé le chauffeur du bus qui ramenait les bobines du même nom au simple motif qu’il était un des rares à porter moustache.
Ainsi le cinéma vivant se prolongeait en ville..
Les premières pluies de mousson qui délogeaient tous les scorpions de sous terre et sur lesquels on marchait, avec ce petit bruit craquant sous la semelle. Un festif rendez vous annuel. Et Gladyness avec ses yeux vert (!!), la jardinière bantou qui les écrasait pied nus sans hésiter.

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Par : JV https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-35 Tue, 02 Jul 2013 10:32:30 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-35 En réponse à Germinal Rebull.

Les matchs de foot. Et aussi les séances de cinéma, aux antipodes de l’idée que l’on s’en fait. La projection de « films indiens », bolywoodiens avait lieu en plein air. Du cinéma non pas regardé mais vécu. Des rangées de chaises bancales alignées et un drap blanc tendu en guise d’écran. Le spectacle était plus parmi les spectateurs que sur l’écran, lesquels commençaient par se lever et finissaient debout sur les chaises. Du cinéma vivant s’il en est.

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Par : Germinal Rebull https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-33 Mon, 01 Jul 2013 08:43:11 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-33 En réponse à vassas Jane.

Oui des regrets, quelques quand même… et puis pas de regrets car tout s’est passé selon le cours inexorable d’un flux étranger aux vrais besoins. Mais c’est partout et une fois que l’on comprend de quoi est fait ce flux c’est fini pour les larmes. Rien n’y échappe et de plus en plus radicalement. Pourtant il se passe plein de choses…gardons l’oeil frais.
Jane tu verras dans les commentaires sur « Slogan » un échange avec N. Morel.
Merci de te rappeler Dodoma. Je vais écrire un truc sur les matchs de foot là bas. Aux antipodes de l’idée que l’on se fait de ce sport. Un plaisir.

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Par : vassas Jane https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-32 Mon, 01 Jul 2013 07:54:35 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-32 Oui. Partir de l’existant et penser à partir des données, de ce qui est-là et que souvent on ne voit pas; plutôt que de plaquer sur les lieux des modèles architecturaux surdimentionnés et inadaptés qui à leur tour engendrent des projets du même acabit. Dresser une topographie rigoureuse et une cartographie précise (avec les moyens du bord qu’étaient les crrayons de couleur à l’époque) se matérialisant par un dessin (beau en plus!) ), prendre en compte les éléments naturels en les considérant comme des ressources et non pas comme des ennemis à dompter ou même à abattre. Dodoma aurait pu être…on parle au conditionnel passé. Un regret?
JV

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Par : Chloé https://germinal.rebull.fr/dodoma-tanzanie-1977/#comment-28 Wed, 26 Jun 2013 15:40:37 +0000 http://germinal.rebull.fr/?p=317#comment-28 Belle étude, vive les crayons de couleur !

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